Naissance D’Une Esclave (5) : Les Deux Chiennes

Les 2 chiennes

Suite au coup de téléphone de Clara, la femme de mon patron, je décidais de le rencontrer. Il était étonné des propos tenus par sa femme. Il réfléchissait un court instant et me demandait d’attendre le lendemain pour reprendre contact avec sa femme. Le lendemain sur mon bureau, à mon arrivée, reposait un paquet avec une enveloppe scellée. Dans ce paquet une caméra numérique avec un disque dur permettant 4 heures d’enregistrement en haute définition, dans le pli juste quelques mots et non signé :
« Je veux tout voir, tout savoir, tout entendre, je compte sur vous ! »
Je demandais une autorisation d’absence pour le lendemain après midi et donnais rendez-vous à Clara chez moi.
Le soir en rentrant chez moi je suis passé chez le fournisseur pour « pouliches ». Après une brève conversation sur les avantages et inconvénients de la cravache, j’achetais 2 colliers pour esclaves ainsi que deux longues laisses, deux bustiers en cuir avec lacets dans le dos. Ces bustiers mettaient en valeur les seins sans les cacher, de véritables petits balconnets de plaisir.
Deux jupettes en cuir, fendue sur le côté complétaient ces achats. J’avais l’intention de les mettre sur une note de frais bien spéciale pour mon patron !!! Surtout la location de la voiture !
Je présentais la journée du lendemain à ma femme et elle n’était pas sans s’inquiéter de ce qui l’attendait. Je profitais lâchement de la situation. Plusieurs fois, elle venait, câline, en murmurant :
« Tu vas loin, trop loin ! Je ne pourrai pas faire cela ! Pas comme ça ! »
Alors je sortais ma cravache et après quelques coups bien assénés sur ses fesses et même un sur ses seins, elle m’annonçait sa totale obéissance pour le lendemain. Jamais je n’avais douté de sa soumission. Restait le problème de Clara ? Irait-elle jusqu’au bout ? A voir.
Le jour J, Clara sonnait chez nous vers 14 heures. Ma femme l’accueillait, elles échangeaient les bises habituelles, et pourtant je voyais bien que les lèvres de Clara frôlaient celles de mon épouse.

J’intervenais en leur disant de rentrer et de se mettre nue.
Clara me regardait avec un air de refus bien prononcé. Je ne lui laissais pas le temps de réagir et je hurlais « A poil ! ». Voyant ma femme se déshabiller, Clara commençait sa mise à nu.
Finalement, j’avais devant moi deux femmes nues. Clara, dans un réflexe pudique cachait ses seins et son pubis avec ses mains. Un coup cravache sur celles-ci, laissaient apparaître ses seins lourds et son pubis bien trop poilu à mon goût. Je questionnais ma femme sur sa capacité à rendre cette toison plus excitante rapidement. Elle me répondait qu’elle pouvait la raser et laisser un peu de poil juste au dessus de la chatte. Je lui donnais mon accord. J’assistais à un rasage de Clara, debout, les jambes écartées, ma femme s’activant autour des lèvres du sexe.
A la fin, content du spectacle j’osais glisser un doigt dans la fente de Clara, et sans surprise je la trouvais mouillée. Elle me regardait en disant :
« Comment, vais-je expliquer cela à mon mari ? »
Cette femme m’étonnait, elle se laissait traiter comme une chienne, et elle se préoccupait de l’opinion de son mari sur sa toison pubienne !!!
Commençait alors l’habillage de ces deux garces. Je serrais fortement les corsets sur leurs seins. Ceux de ma femme, de tailles respectables avaient l’air de vouloir exploser hors du corset, ceux de Clara avaient pris la forme de respectables petits melons. Toutes les deux avaient les tétons au dessus du corset. Je leur demandais de passer de très petits strings noirs. Dans leur tenue de cuir, elles étaient diablement excitantes. J’adorais la fente des jupettes qui remontait très haut sur la cuisse. Cette habillage les avaient excitées et j’avais devant moi deux collégiennes pubères. Je leur présentais alors les colliers en cuir, je passais le premier à ma femme. Le résultat était splendide, une vraie chienne, à surtout bien tenir en laisse. Ma femme tenait à placer le collier de Clara. Je la voyais s’activer sur son collier, et je voyais aussi la main de Clara cherchait l’entre jambe de ma femme.
Je les laissais badiner quelques instants. Puis j’annonçais notre départ en voiture.
La capote de la voiture était fermée, elles ne risquaient pas d’être trop vite remarquées par le voisinage. Je demandais à ma femme de passer à l’arrière droit et à Clara à l’avant droit. Luc était à notre rendez-vous. Clara, intimidée par la présence d’un jeune homme, me questionnait du regard. Je le présentais comme le reporter du jour, la mémoire des instants à venir. Je rappelais à mes deux chiennes que les ordres de Luc étaient des ordres, qu’elles ne s’amusent point à l’oublier !!!
Nous prenions la direction d’une nationale où transitaient énormément de poids lourds. On m’avait raconté, au bureau, que certaines aires de parking ressemblaient à des baisodromes en plein jour. Arrivés sur la nationale, je baissais la capote pour profiter du beau soleil. Et surtout pour essayer de faire profiter les autres usagers de mes passagères. Je demandai alors à Clara de glisser ses fesses vers l’avant et de bien écarter ses jambes. Je lui disais qu’elle pouvait placer ses pieds sur le tableau de bord.
« On va tout voir ! » s’écriait-elle.
« C’est tout à fait ce que je veux » répondais-je.
Le spectacle était charmant, une femme en mini jupe noir, string noir, les jambes bien écartées laissait voir ses jambes quasi intégralement, son sexe masqué par ce bout de tissu, les seins bien à l’air et offerts à tout passant. Je demandais à ma femme de faire de même.
Je doublais lentement un premier camion. Sans effet.
Pour le second, je décidais au préalable de klaxonner violement. Puis j’avançais la voiture à la hauteur de la cabine du camion. Je voyais le chauffeur se préparait à m’agonir d’injures.
A la vue du spectacle de ces deux femmes, jambes en l’air, il restait la bouche ouverte, les yeux rivés sur les attributs de mes passagères. A la fin il me faisait un petit signe du pouce, sur ce, je me laisser dépasser par le camion et me glissais derrière lui.

« Les filles, je veux que vous excitiez ce chauffeur. Faites ce que vous voulez, mais je veux qu’il bande à péter son pantalon. Je veux qu’il nous fasse stopper à la prochaine aire de parking ».
Profitant du peu de circulation, je me portais à nouveau au niveau de la cabine et attendais.
Je jetais un clin œil à l’arrière et je voyais ma femme tenir ses seins, les caresser, sortir un bout de langue coquin pour se lécher les babines (de vrais chiennes vous disais-je), d’écarter ses jambes, avancer son bassin pour bien montrer son string. Luc ne perdait aucun détail de ces mises en bouches érotiques.
Clara démarrait plus timidement. Elle, aussi, se caressait les seins, mais sans grande conviction. Je la sermonnais alors en lui promettant une fessée mémorable si elle n’elle n’y mettait pas plus du sien dans cette partie. Serait-ce le mot fessée, mais en tout cas je voyais Clara osait un peu plus. Elle promenait son doigt sur sa chatte, au dessus du string. Elle montait et descendait le long de sa fente. Elle glissait un doigt dans le string, le ressortait puis lentement le portait à ses lèvres pour le lécher avec passion. Le chauffeur suivait tout cela avec avidité. La circulation m’obligeait à repasser derrière le poids lourd. Je félicitais les filles et leur demandais d’oser encore plus ! A nouveau à la hauteur de la cabine, je voyais alors Clara, littéralement écartelée, tendre son string pour que le fin tissu sépare ses lèvres. On voyait alors deux lèvres de chair rose séparées par une bande de tissu noir. Clara se saisissait alors de ses lèvres et tirer sur celle-ci pour les écarter au maximum. Luc, quasiment debout dans la voiture, filmait ces plans avec grand professionnalisme…hum grand voyeurisme…
Ma femme, elle avait décidé d’ôter son string, et présentait son sexe glabre avec un doigt qui caressait son clitoris. Elle avait porté son string à sa bouche et elle jouait avec ce bout de tissu. Son jeu était assez excitant, mais je préférais celui de Clara.
Je lui annonçais que je punirais son manque d’imagination érotique !
Sur ces entrejambes, notre chauffeur me faisait comprendre par signe qu’il allait stopper à la prochaine aire et que je devais le suivre.
Je suivais le camion sur la voie d’accès au parking, notre camion se dirigeait vers une zone voisine de bosquets d’arbres. Je me garais, et visiblement notre chauffeur attendait que nous soyons les premiers dans l’arène. Au jugé, je dirigeais ma troupe vers une petite clairière visible depuis le parking. Je tenais me deux chiennes en laisse, et je voyais avec surprise et plaisir deux hommes descendre de notre camion. Un de petite taille, le chauffeur et un grand costaud à l’air bestial. J’expliquais alors la règle du jeu que je venais d’inventer.
« Voila, nos cobayes sont deux, la première qui fait jouir son partenaire en le suçant à gagner. Donc l’autre sera fouettée jusqu’à la jouissance du deuxième »
Mes chiennes n’avaient plus l’air aussi joyeuses !!!
Les deux hommes arrivaient rapidement dans leur combinaison de travail. Ils avaient un air surpris en voyant ces deux femmes tenues en laisse. Je leur expliquais que je sortais mes chiennes et qu’elles étaient à leur disposition, s’ils acceptaient la présence de la caméra.
Le grand s’approchait de ma femme, je voyais ses grandes mains s’avançait vers sa poitrine. Il lui malaxait les seins sans douceur et je remarquais une petite lueur d’angoisse dans les yeux de ma femme. D’une main il sortait son sexe en érection, un assez bel engin bien veiné et déjà, il obligeait ma femme à le sucer.
L’autre homme était aux mains de Clara, et c’est le terme exact. Il se tenait debout bien cambré et Clara avait déboutonné sa combinaison pour sortir son sexe. Celui-ci était flasque. Clara me regardait, implorait presque mon aide du regard. Elle prenait le bout du sexe dans sa bouche, jouait avec sa langue sur le gland mais visiblement rien ne marchait.
A côté, les choses allaient bon train, ma femme avalait le membre qui entrait dans sa bouche, à chaque sortie elle glissait un coup de langue sur cette belle queue. A un moment, elle prenait le gland et se caressait les tétons avec. Visiblement, notre homme ne pouvait plus se retenir et il éjaculait une énorme quantité de foutre sur le visage et la poitrine de ma femme.
Je me tournais vers Clara, malgré tous se efforts, le sexe restait mou. Je prenais ma cravache et appliquais un coup sec sur ses fesses. Je continuais la punition, à chaque coup de cravache on avait l’impression de voir le sexe gonfler légèrement.
Je demandais alors aux chiennes de quitter jupette et string, de ne rester qu’en corset.
A cette vue, le grand reprenait des forces, sa queue se mettait à se tendre à l’horizontale. Quant à Clara, son affaire progressait. Mes coups de cravaches sonnaient sur de la chair et cela excitait son partenaire. Son sexe grossissait dans la bouche de Clara et on voyait celle-ci mettre toute son énergie à le pomper.
Le grand s’était approchait de ma femme, je voyais sa grosse main jouait avec sa chatte, glissait un doigt dedans, le ressortir, lui fourrait dans sa bouche en lui disant
« Tu mouilles salope ! » Tous ces gestes étaient brutaux, ma femme n’avait que des regards affolés. Visiblement c’était la première fois qu’elle se faisait tripoter par un vrai inconnu et pas par un partenaire choisi. Je prenais un grand plaisir à la voir ainsi manipulée.
« Et ton petit trou ? Comment est-il ? ». Je voyais alors l’homme retourner ma femme, s’accroupir, écarter les fesses et lui glisser un doigt dans le cul. L’homme ressortait son doigt, le léchait abondamment puis se cracher dans la main pour aller humidifier le trou du cul de ma femme. Elle ne bronchait pas, mais ses fesses ne reculaient pas sous les assauts des doigts.
A ce moment, l’homme plaçait un préservatif sur sa queue avec adresse, attrapait ma femme sous les genoux en se tenant derrière elle, la soulevait en écartant les jambes de ma femme, et dirigeait ses fesses vers son sexe tendu. Quelle force il avait ! Doucement il faisait descendre le cul de ma femme sur sa queue.
On l’entendait murmurer :
« Ma bite est à l’entrée de ton cul …tu sens mon gland qui te force…ca y est il est entré…alors ça te plait salope… »
On ne voyait plus la bite de l’homme, il avait les fesses de ma femme collées à lui.
« Tu sens mes couilles au porte de ton cul, hein ma salope ». Il se mettait à soulever et laisser redescendre ma femme avec un rythme de plus en plus rapide.
Je me plaçais devant ma femme et effectivement le spectacle valait le coup d’œil !!!
Je voyais sa chatte grande ouverte, ruisselante de cyprine et son cul pénétré par cette belle queue.
Bientôt ma femme se mettait à encourager son enculeur :
« Vas y…oh c’est bon… elle est grosse dans mon ventre… plus fort… ahhhh tes couilles je les sens… j’ai le cul en feu… trop bon…ahh… je jouiiiiiiiiiiiiiiiiiiis… » Elle poussait des cris à affoler un troupeau d’éléphants. Je vous avoue ma jalousie à la voir ainsi jouir par le cul et je l’enviais presque…
Luc ne perdait pas un instant de cette scène, il filmait tout, tout en s’astiquant la queue comme un malade…
En fait depuis un petit moment, quelques voyeurs s’étaient approcher de notre clairière et ils ne perdaient pas une miette du spectacle.
L’homme continuait son va et vient. La jouissance de ma femme durait encore.
Subjugué par ce spectacle, je n’avais pas vu un homme s’approcherderrière Clara, qui continuait à pomper son chauffeur. Elle se tenait accroupie, l’homme s’était allongé, les fesses de Clara au dessus de lui. Il regardait la chatte de Clara tout en se masturbant.
« Elle est belle ta chatte… j’aime les chattes des femmes mures… j’aimerai que tu me pisses dessus… oh oui une grande giclée de pisse dans ma bouche… » Murmurait-il pour Clara.
« J’aimerai coller mes lèvres à ton sexe… te sentir pousser pour uriner… couler ton urine dans ma bouche… chaude comme toi »
Je voyais les fesses de Clara bouger, visiblement elle appréciait les paroles de l’autre inconnu et cela devait l’exciter. Je décidais d’intervenir. Je lui demandais de se laisser aller et de pisser sur cet homme. Son regard était très expressif mais je ne comprenais pas le sens de son expression. Je remuais la cravache et soudain je voyais un liquide dorée arroser l’homme. Celui-ci essayait d’avaler le maximum d’urine qu’il pouvait et on le voyait jouir à grandes giclées de spermes. Le chauffeur, sur ce, excité par ce, certainement, premier spectacle, éclatait en râlant dans la bouche de Clara. Elle continuait à le pomper soigneusement, jusqu’au retrait volontaire de notre chauffeur.
L’homme arrosé approchait sa bouche de la chatte de Clara et se mettait à la lécher consciencieusement. Visiblement il aimait la pisse et Clara avait décidé de jouer le jeu. Elle réussissait à faire jaillir quelques gouttes d’or. Deux autres voyeurs s’enhardissaient et s’approchaient d’elle la bite à la main. Je pensais la voir hésiter mais non !
Elle se redressait, allait vers eux et prenait un sexe dans chaque main. Elle regardait froidement ces hommes tout en les branlant. Je m’approchais d’elle et je continuais mon jeu de dressage :
« Tu dois faire jouir ces hommes en même temps sinon… la CRAVACHE ! »
Je la regardais masturber ces 2 queues avec application, le regard porté sur les visages des hommes. Je remarquais qu’elle aimait la position accroupie, les jambes accroupies. Moi aussi, car elle nous présentait sa chatte bien ouverte et son beau cul bien charnu. Je bandais depuis un bon moment et j’avais bien envie de le baiser son cul. Je jetais un regard à ma femme, j’étais rassuré (hum…), son costaud continuait à lui pilonner le cul et son ami le chauffeur avec une ardeur retrouvé tentait de glisser sa queue dans la chatte de ma femme. Je remerciais mentalement ces chauffeurs qui utilisaient des préservatifs. Délaissant ce spectacle je me tournais vers Clara, la relever, soulever sa jupe et présenter ma queue sur son anus. Je l’avais déjà baisé mais pas enculé. Je mouillais un doigt et le glissais dans son cul. Tout de suite après je poussai mon gland contre son anus, je l’entendais protester, qu’elle n’aimait pas cela. Je n’écoutais rien et forçait son cul avec une forte poussée. Je me retrouvais à moitié dans son boyau chaud. Je lui demandais de continuer à masturber les 2 hommes et j’invitais Luc à se faire sucer car décidément, ce pauvre jeune homme manquait d’initiative. Quel spectacle, la femme de mon patron enculée, suçant un jeune et branlant deux inconnus. Je commençais à reculer ma queue et quand je sentais que mon gland allait sortir, je le repoussais doucement en avant. Je poussais jusqu’à coller mes couilles à ses fesses. Je restais un instant comme cela puis je me lançais dans une série de va et vient rapide.
Clara criait un instant avant que Luc ne lui replaçait sa bite dans la bouche, avide visiblement de jouir au fond de cette femme mature. L’amateur d’urine venait compléter le tableau en nous léchant, moi mes couilles et Clara sa chatte et son cul. Je ne résistais pas longtemps à ce régime et je jouissais fort au fond de ses entrailles, suivi de peu par Luc et les deux hommes qui arrosaient le corps de Clara de belles quantités de sperme.
Apres quelques instants utilisés à récupérer je regardais ma femme. Elle était enculée et baisée par nos deux chauffeurs et un troisième larron lui caressait les seins tout en se faisant branler. Elle n’était donc pas en train de s’ennuyer. Luc, quant à lui faisait des effets de caméra, il filmait sa queue qui sortait de la bouche de Clara, lui demandait de garder la bouche ouverte pour bien cadrer le foutre au fond de la gorge de Clara, puis il filmait toutes ces taches de sperme sur le corps de Clara…….
Plus tard, dans la voiture sur le chemin du retour, les femmes avouaient avoir bien joui. Clara déclarait avoir fait jouir 4 hommes en même temps. Ma femme, médusée, la regardait.
Je déclarais alors :
« Ma chérie, tu as trois trous et deux mains, la prochaine fois tu devras faire jouir 5 hommes !!! »
« Et quant à vous Clara, nous vous ramenons chez vous ! »
Clara à ces mots, protestait vivement qu’elle devait se laver, se changer avant de rentrer. Je lui annonçais que son mari l’attendait pour s’occuper d’elle et qu’il allait en plus avoir un film de ses activités en plein air. Clara se mettait alors à pleurer. Le dressage commençait pour elle…
Plus tard dans la soirée je recevais un premier texto de mon patron :
« Je l’ai baisée sans la laver, film excellent, bon boulot » et un peu plus tard :
« Un week-end dans notre maison de campagne vous intéresse-t-il ?
Vous voulez la suite ? Alors à dans une ou deux semaines
Dom Star

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